Atelier sur les hauteurs de sons
Le musée de Bach de Leipzig propose, en parallèle de son espace d'exposition sur le célèbre musicien Jean-Sebastian Bach, de produire et comprendre les hauteurs de sons. Cette salle propose au visiteur de formuler une suite de mots, de choisir la hauteur de chaque son en réglant la hauteur réelle du mot sur le mur et d'ainsi composer sa propre symphonie. Il est possible de régler la vitesse de lecture et l'ordre des sons. Il est ^possible d'ajouter un fond instrumental parmi quelques genres musicaux. La traduction en anglais rend le dispositif accessible aux publics étrangers, ce qui n'est pas le cas dans le reste du musée qui nécessite une application pour smartphone pour avoir les contenus d'exposition. L'ensemble de la visite se fait donc dans une certaine autonomie et individualité où chaque visiteur apprécie sa visite dans son coin, libre de s'arrêter écouter les sons de l'artiste plus longtemps. Cette espace vient créer de la cohésion, à la fois par les sons qu'il émet et par les possibilités de coparticipation. En fin de visite, après avoir découvert l'univers de Bach, il est intéressant de de comprendre réellement les enjeux musicaux en créant ses propres compositions.
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Auto-évaluation
Le schéma ci-contre représente selon dix critères, classés de 1 à 5, une forme d’auto-évaluation par l’institution. Sans aucune hiérarchie d’intérêt entre une médiation et une autre, il s’agit de se donner seulement une représentation en fonction du temps de préparation nécessaire, de l’implication des usagers attendue, du budget à consentir, du nombre de partenaires à mobiliser, des compétences techniques nécessaires, des spécialistes à réunir, du temps de préparation, de la durée de l’action proposée.